• Zone magique

    Combien de fois avez vous entendu dire par vos propres parents ou amis: Non mais tu rêves là! Tu n'y arriveras jamais ! C'est impossible ! Tu te prends pour qui enfin ?! Fais attention ! C'est dangereux ! Tu risques de tout perdre ! Tu sais ce que tu perds mais tu ne sais pas ce que tu gagnes ! Tu vis au pays des bisounours ? ...

    Je crois que je pourrais vous en écrire une page entière ! Mes parents ont toujours été très très prudents pour tout et ils ont essayé de m'inculquer cela. Mais ce fût peine perdue, c'est plus fort que moi ! J'aime la nouveauté, j'aime apprendre, j'aime faire ou essayer des choses que je n'ai jamais faites, j'aime tester par moi-même, j'aime me lancer des défis, j'aime créer, j'aime faire ce qui me plait....

    Ce qui me fait le plus kiffer, c'est de sortir de ma zone de confort !

    Oh je vous rassure, ça n'a pas toujours été le cas. A l'adolescence, j'avais tellement peu confiance en moi, que je n'osais même pas lever le doigt pour donner une réponse de peur qu'elle soit fausse. Et puis, mes études et ma vie professionnelle m'ont contraint à sortir de cette timidité et plus je parlais en public et plus j'étais a l'aise et plus je prenais confiance en moi. Désormais parler en public fait parti de ma zone de confort, car cette zone s'agrandit au fur et à mesure de nos acquisitions.

    En fait, cette zone de confort est finalement très inconfortable ! On y est à l'étroit car elle est très ennuyeuse et tellement limitante ! Notre créativité et nos rêves nous poussent à en sortir pour une seule et bonne raison: notre développement.

    Un être humain est fait pour vivre des expériences, pour apprendre et pour évoluer quotidiennement. Halte à la routine ! Elle est mortelle ! Elle entrave notre développement !

    Essayez chaque jour de faire quelque chose que vous n'avez jamais fait: demander l'heure à un inconnu, dessiner, chanter , sauter dans une flaque, vous inscrire à un cours, dire une blague, aller marcher sur le temps méridien... C'est en expérimentant que nous évoluons ! 

    Quand on fait un pas en dehors de sa zone de confort, on a peur ! On va vers l'inconnu...mais si on a foi en cet univers inconnu, si on croit à ses rêves et en soi-même, alors on s'ouvre à de magnifiques opportunités : des rencontres, des choix, des découvertes, des surprises, des cadeaux surgissent alors de toute part et à partir de là, la vie devient tellement magique !

    Quand on sort de sa zone de confort, on arrive dans la zone magique !

    Alors au lieu de vous dire: "j'ai  peur de sortir de ma zone de confort", dites vous plutôt: " Tiens j'ai bien envie d'entrer dans ma zone magique!"

    Cela donne tout de suite plus envie, non ? Tout est une question de point de vue dans la vie ...

    Voici une petite vidéo à voir absolument pour bien comprendre cette histoire de "zone de confort" !

     


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    On ne peut pas attendre que nos proches ou la société nous respecte si nous ne nous respectons pas nous même ! Si chaque femme ressentait en elle la déesse intérieure qui l’habite, alors elle ressentirait sa puissance et sa beauté. Elle ne pourrait que se respecter, et du coup, son comportement vis-à-vis d’elle modifierait complètement les comportements des personnes qui l’entourent et de la société.

     

    Imaginez une société, où chaque femme se respecte pour ce qu’elle est, une déesse, un être libre, créateur et puissant...

    Pensez-vous que dans cette société, les femmes accepteraient :

    -         D’être moins payées qu’un homme

    -         D’être traitées comme des esclaves modernes

    -         D’être rabaissées, humiliées, violentées

    -         D’être abusées, séquestrées

    -         D’être obligées de s’habiller d’une certaine façon

    -         D’être limitées à une certaine catégorie de métier

    -         D’être traitées comme des objets sexuels

    -         De ne pas être prise au sérieux

    -         De « coucher pour réussir »

    -         De prendre en charge 80 % des tâches ménagères

    -         De mettre de côté leur carrière pour élever leurs enfants

    -         De ne pas avoir de temps pour elle

    -         D’être dépossédée de leur accouchement

     

    Si les femmes de notre société sont encore dans ces situations, c’est à cause de la culpabilité que font peser sur elles l’éducation, les religions, les lois du patriarcat, les mythes et légendes de la conscience collective… mais c’est aussi à cause du non respect et non amour qu’elles ont pour elle-même.

     

    Si nous nous respectons, alors nous posons des limites autour de nous que personne ne peut franchir. Des limites qui nous garantissent de protéger notre intégrité et notre bien-être.

     

    Nous devons apprendre à nous respecter, à dire non quand cela ne nous convient pas et oui si cela nous met en joie. Notre pouvoir est grand, nous nous opprimons ou nous limitons toutes seules ! De quoi a t’on peur ?

    La vie est faite pour être vécue et non pas pour être subie !

    En France, nous sommes dans le pays des droits de l’Homme avec une grand H qui suggère l'humanité. Nous sommes libres de faire ce qui nous plait. Pourquoi s’auto-limiter, autoriser certains hommes à poser un cadre pour nous ? Rien n’est obligé, tout est choix.

    On pense souvent qu’on ne peut pas faire autrement parce que tout le monde fait comme ça. Mais si ! On peut faire autrement ! On a le choix de vivre comme bon nous le semble en suivant notre joie et notre enthousiasme.

    Arrêtons de remettre notre vie dans les mains des autres ! Reprenons les rennes de notre vie ! Certains diront que ce comportement est égoïste. Et bien, dites-vous bien que ces personnes là vous envient votre liberté de choix, votre liberté d’être qui vous êtes réellement. Et si elles voient de l’égoïsme et bien ce n'est que leur propre reflet qu'elles voient en vous. On ne voit chez les autres que ce que l’on possède nous-mêmes.

    Se respecter, c’est aussi, arrêter l’auto-sabotage. Ne plus constamment se répéter : « je suis trop bête, je n’y arriverais jamais, je ne suis pas assez douée… »

     J’appelle cela « la petite voix critique » qui tourne constamment dans notre cerveau pour nous piquer avec ses méchancetés. Dites vous bien que cette voix, n’est pas la vôtre, c’est celle de votre ego qui a été conditionné et endoctriné par la société patriarcale et les religions. Notre ego peut parfois devenir un ennemi redoutable !

    Vous êtes puissante et créatrice. Vous avez des dons et des désirs qui vous rendent heureuses. Suivez-les ! Et faites taire cette petite voix critique une bonne fois pour toute, car c’est le pire des poisons. Soyez consciente du discours dans votre tête et modifiez-le en phrases positives : « Je vais y arriver, je suis douée, je suis belle, je suis intelligente, je m’aime et je m’approuve, je mérite d'être heureuse ». Répétez-vous ces phrases toute la journée s'il le faut (en vous regardant dans un miroir c’est encore plus efficace !)

     

    Si vous fumez, vous mangez trop, vous passez votre temps à procrastiner (repousser au lendemain), vous sabotez votre vie. Vous perdez du temps, vous gâcher votre potentiel !

    Pourquoi se mutiler soi-même ? C’est un non sens !

    Le mal-être que l’on ressent et qui est à l’origine de ces auto-sabotages vient du fait que nous avons oublié qui nous sommes réellement : des déesses, des femmes sacrées !

    Nous devons nous respecter et nous aimer. Soyons notre meilleure amie. Traitons nous avec amour et bienveillance comme nous le faisons avec nos amis.

    Et alors quand nous respecterons et honorerons notre essence divine (âme), le comportement des hommes et de la société changera à notre égard, comme par magie.

    Le changement vient toujours de l'intérieur pour rejaillir sur l'extérieur....

     

    Voici quelques pistes concrètes pour apprendre à se respecter :

    -         Prendre soin de son corps : manger des aliments sains, faire du sport, faire des soins beauté, prendre des bains, faire des manucures, utiliser des produits non toxiques sur sa peau…

    -         Prendre du temps pour soi - ce temps est obligatoire, ces moments sont à intégrer dans votre agenda au quotidien ; il ne peut pas être annulé – Par exemple: s’inscrire dans un club, un cours (sport ou artistique), méditer, aller voir ses copines, faire ce qui nous plait le plus et qui nous met en joie

    -         Dire non : quand on n’a pas envie de faire quelque chose, ou que cela ne correspond pas à nos valeurs, dire simplement : Non ! Pas besoin de donner des excuses ou pire de mentir. C’est juste : Non ! C’est votre choix.

    -         Ne plus se justifier : Ne pas se justifier à chaque prise de décision. C’est votre choix, en votre âme et conscience, c’est votre responsabilité et vous en assumez les conséquences. Votre choix est aligné avec qui vous êtes, vos goûts, vos envies. « Ainsi soit-il »

    -         Dire oui : Quand une opportunité se présente, qu’elle correspond à vos valeurs et qu’elle vous enthousiasme, dites oui ! Même si ce choix peut paraître déraisonnable du côté sociétal (règles, obligations), si vous suivez votre joie, vous savez que vous ferez une expérience- bonne ou mauvaise- qui va vous enrichir personnellement.

    -         Réfléchir sur vos limitations (éducation, religion, société) : prendre du recul sur ce que l’on croit être des limitations. Ces barrières sont bien fragiles et vous pouvez les briser facilement et être libre.

    -         Dire Stop : Mettre des limites quand quelqu’un vous manque de respect, recadrer de suite l’inconvenant en lui explicitant que vous n’acceptez pas qu’il vous lance au visage ses propres peurs et limitations. Car quelqu’un qui est agressif avec vous, n’exprime que ses propres peurs et manques. Il ne parle pas de vous mais de lui.

    -         Se responsabiliser : savoir que nous sommes libres de prendre toutes les décisions qui nous mettent en joie et nous serons capables d’en assumer les conséquences. Il faut prendre ses décisions soi même et ne plus remettre notre pouvoir dans les mains de quelqu’un d’autre. Chaque jour, prendre une décision seule aussi minime soit-elle.

     

    Si nous prenons des décisions basées sur notre cœur, alignées à qui nous sommes et que nous nous respectons assez pour ne plus faire des choses contraires à nos valeurs, alors nous nous libérons de la matrice pour nous reconnecter aux déesses créatrices de leur réalité que nous sommes originellement.


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  • Résultat de recherche d'images pour "feminin paleolithique"

    Au paléolithique, la femme était considérée comme l’incarnation dans la matière de la déesse mère, Gaïa. Elle représentait le pouvoir créateur de la déesse mère et elle était l’instrument de son pouvoir dans le monde. Elle seule, pouvait communiquer avec l’invisible, avec le sacré.

    La femme antique était aussi considérée comme sacrée. Elle était chamane, guérisseuse, magicienne ou prêtresse.

    Chaque femme est un message au monde. Nous sommes issues de Gaïa, la terre mère. Nous sommes ses filles. Comme elle nous possédons le pouvoir de créer la vie et de nourrir nos enfants. Nous puisons, comme elle, notre énergie dans le soleil. Nous sommes de nature solaire.

    Bien que la femme soit sous l’influence de la lune, par rapport à ses cycles menstruels, comme la terre l’est pour ses marées, elle n’en est pas moins solaire. Isis la déesse-mère de l’Egypte antique porte un soleil sur sa coiffe pour nous rappeler notre vraie nature.

     

     

    On retrouve à travers les croyances égyptiennes des éléments démontrant la place importante qu’occupaient les femmes dans la société. Ainsi, la triade principale n’est pas composée du père, du fils et du Saint-Esprit comme dans le catholicisme, mais : de la mère (Isis, Déesse mère dont l’influence et l’amour règne partout), du frère (Osiris, Dieu de la fertilité), et du fils (Horus). C’est la trinité matricienne.

    Dans la société égyptienne, le statut de la femme est très élevé. Or universellement, plus le statut de la femme est élevé, plus la filiation est maternelle et non paternelle, plus le rôle de l’oncle maternel prime sur celui du père, et moins le mariage n’a d’importance. La transmission se fait de mère en fille, et d’oncle à neveux maternel, et non de père en fils. On parle alors de coutume matrilinéaire.

    La déesse est l’entité dominante car elle donne naissance et mort à Dieu. Les sociétés matriarcales avaient érigées les femmes au rang de divinité.

    Notre pouvoir de femme solaire est grand : nous pouvons créer la vie ! 

    Malheureusement dans nos société, ce pouvoir de création  est minimisé voir ignoré. La femme n'est pas considéré à sa juste valeur. Bien au contraire, rabaissée, violentée, tout a été mis en place dans les sociétés patriarcales pour que les femmes oublient leur propre valeur.

     

    Chaque femme possède une déesse à l’intérieur d’elle. Il est de notre devoir de femme, de la reconnaître pour la libérer et nous aider à faire surgir notre plein potentiel, à devenir la meilleure version de nous-même.

    Dans les temps anciens, les secrets de notre pouvoir se transmettaient de mère en fille, mais nos sociétés individualistes et le patriarcat ont cassé cette transmission. Voilà donc, un petit rappel de votre nature divine...

    Voici les 5 caractéristiques du féminin sacré et ses enseignements :

    -         La créativité : "Porte la vie en toi, crée la beauté et l’harmonie"

    -    Le lien entre la terre et les femmes : "Sois sensible et attentive au vivant, reconnecte-toi à la nature et protège-là "

    -     Le lien avec la lune : "Ecoute tes rêves au moment de tes lunes (règles), connecte toi aux énergies de la lune"

    -         L’intuition : "Fais-toi confiance avant de faire confiance aux autres, écoute ton intuition"

    -         La porte sacrée (utérus) : "N’ouvre pas cette porte à n’importe qui"

     

    Il fût un temps où ses enseignements étaient transmis de femme à femme dans les tribus ou les villages. A nous de rétablir cette transmission auprès de nos soeurs, filles...


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  • Résultat de recherche d'images pour "féminin sacré eve"

    Les travaux d'Annick de Souzennelle montrent que les textes sacrés ont été traduits et interprétés avec un certain nombre d'erreurs. Elle a travaillé à la relecture des textes originels (bible, coran) pour découvrir le sens caché de ces textes sacrés. Elle nous offre des informations essentielles à connaître à notre époque. 

    Nous avons l'habitude dans nos sociétés de considérer les textes de la bible comme des faits historiques. Alors que pour Annick, il s'agit en fait de textes métaphoriques qui parlent de notre intériorité. Ces textes sont là pour nous apprendre à nous éveiller à notre essence divine.

    Quand on parle d'Adam dans la bible, on parle en fait d'un être humain (femme ou homme). Eve n'est pas une femme créée à partir d'une « côte » d'Adam! Eve représente l'autre côté d'Adam, le côté féminin, qui est à l'intérieur de chaque être humain, appelé plus communément âme.

    En effet, chaque être humain a deux polarités en lui : un côté masculin et un côté féminin. On dit que Dieu créa la terre (pôle mâle observable) et les cieux (pôle femelle, potentiel voilé que chacun possède en lui). Chacun de nous (homme et femme) est appelé à se souvenir de cet autre côté de nous (potentiel divin). Pour cela, il faut différencier son côté matériel (son corps) de son autre côté (âme) et s'éveiller à sa véritable nature d'être illimité et divin.

    Ce « potentiel voilé » du féminin, traduit et compris de manière littérale dans certaines religions, serait à l'origine de la tradition du port du voile. Or le sens réel du texte sacré n'était pas de voiler les femmes, mais de découvrir en chacun de nous ce potentiel divin (voilé car non visible).

    Eve représente ce côté féminin de l'être, l'âme, cette force qui contient toutes les informations et le côté divin de l'être. Cette force féminine doit s'unir à l'esprit de l'Homme pour faire advenir un potentiel à l'intérieur de nous.

    Les femmes de la bible sont porteuses de l'information du féminin de l'être (l'âme) : quand Jacob perd tout, sa femme lui dit: « bénit dieu et mute » (et non pas "maudit dieu et meurt" comme le dit la mauvaise traduction actuelle). Le féminin divin bénit les épreuves de la vie, car elles sont sources de transformation et d'évolution de l'âme.

    Le jardin d'Eden est en nous. Il nous attend. Nous sommes à côté de lui parce que la plupart des gens sont dans l'inconscience totale. Leur féminin sacré (âme) est oublié, et petit à petit, il se transforme en Lilith (ronce et épine, aigreur, nuit).

    Quand les écritures sacrées invitent à secourir la veuve et l'orphelin, elles demandent simplement de se reconnecter à notre féminin divin pour le libérer de ses épines (Lilith) et de le transformer en Eve (feu d'amour) afin de pouvoir donner naissance à l'enfant divin que nous portons tous à l'intérieur de nous.

    Actuellement nous sommes en exil de cette réalité que nous portons en nous. C'est dramatique. L'humanité a fait de cet exil de nous-même la normalité ! Alors que notre situation naturelle est la connexion à notre féminin divin (notre âme) que l'on soit homme ou femme ! 

    Quand on s'éveille, on devient conscient et on se reconnecte à notre féminin sacré. C'est une aberration d'avoir associer l'union du féminin au masculin à un péché ! Avoir identifié la femme au péché d'Adam, d'en avoir fait quelqu'un de très menaçant est dramatique pour la condition féminine (passée et actuelle) !

    La femme est un Adam (=Humain) comme l'homme et doit se reconnecter à son autre côté, Eve, son âme (féminin divin).

    Tous les mythes, comme celui d'Adam et Eve, sont en fait, des histoires métaphoriques sur l'être intérieur. Mais n'ayant pas les mots pour se dire, l'Homme emprunte le langage de la vie matérielle.  Il faut découvrir le message caché des mythes qui est beaucoup plus subtil et qui touche à l'intérieur de l'être.

    Robert Collier écrivait à juste titre: «  Tout le pouvoir vient de l’intérieur. Il est donc sous notre propre contrôle »


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    Pas facile à notre époque d’être une femme. Nous baignons dans une conscience collective qui n’est pas franchement bienveillante à notre égard.

    Parce que mine de rien, toutes les religions associées au patriarcat et toutes les petites doctrines simplistes du style « sois belle et tais-toi » ou les termes « le sexe faible » et « les pécheresses » pour parler des femmes n’ont fait que ternir la notion de féminité. Sans oublier les fameuses chasses aux sorcières qui ont laissées des traces dans l'inconscient collectif !

     

    Même si l’on peut noter des progrès dans les pays nordiques, les femmes ne sont toujours pas reconnues à leur juste valeur :

    -          Elles sont obligées de copier le modèle masculin si elles veulent progresser dans une entreprise.

    -         Le salaire des femmes est très souvent inférieur à celui des hommes au même poste

    -         Elles sont peu représentées dans les gouvernements (et encore, il a fallu mettre des quotas pour en avoir plus !)

    -         Nombres de femmes sont exploitées dans des réseaux de prostitution.

    -         En Europe, 1 femme sur 3 a été victime de violences physiques ou sexuelles.

    -         Elles n'ont pas d’accès à l’éducation dans certains pays.

    -         Il existe encore des mariages arrangés voir forcés...

    -                 

    Pour moi, toutes ces situations proviennent d’une mauvaise interprétation des textes sacrés. Des hommes apeurés par le pouvoir créateur des femmes, reconnues et honorées au paléolithique (considérées comme des déesses car créatrice de vie) ou à l’antiquité (femmes chamanes, guérisseuses), ont décidé par le biais de la religion d’opprimer les femmes et de créer des sociétés patriarcales dans lesquels les femmes perdraient leur pouvoir par oppression.

    Les religions ont fait plus de mal que de bien : guerres de religions, oppression des femmes, déresponsabilisation de ses propres actes, endoctrinements pour tuer…

     

    Quel Dieu, qui n’est par définition qu’Amour, pourrait autoriser des crimes, de l’esclavage, des intentions malveillantes, des abus, des massacres ? 

    C’est un non sens ! Nous devons reprendre notre place dans la société, car oui, nous méritons d'être aimées et respectées au même titre que chaque être vivant sur cette Terre.

    Oui, nous sommes intelligentes, belles telles que nous sommes, et pleines de talents. Oui nous sommes intuitives, sensibles, changeantes et créatives. Nous ne devons plus avoir honte de qui nous sommes, car nous sommes des femmes divines, des femmes sauvages, libres de vivre notre vie comme nous le souhaitons.

    Nous ne devons rien à personne, nous ne sommes obligées de rien, nous avons le choix, le choix d'incarner notre féminité de la façon qui nous correspond le mieux.

     


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